Un vendredi endimanché

C’est un vendredi férie qui ressemble à un dimanche mélancolique. Il en a la même odeur et la même lumière. J’ai toujours détesté les jours fériés. Je suis sûre qu’ils ont été inventés pour que les salariés aient envie de retourner au travail.

C’est une journée à regarder des séries sous la couette, à écrire sous la couette, à lire sous la couette, à rester sous la couette et à regarder la pluie tomber en buvant du pu-ehr et du chocolat chaud ovomaltine.

Quelques lectures en ce moment : Reflets dans un oeil d’homme de Nancy Huston (qui contient autant d’idées intéressantes que de théories avec lesquelles je ne suis absolument pas d’accord), Face aux ténèbres de William Styron, Hérétiques de G. K. Chesterton, le dernier numéro de la revue Décapage, et le très beau You Are Here : Personal Geographies and Other Maps of the Imagination de Katharine Harmon.

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