Des filles, surtout

C’est une période de lectures enthousiasmantes et ça fait du bien. J’ai lu La petite communiste qui ne sourit jamais, de Lola Lafon, très beau texte sur le corps qu’on regarde, qu’on dompte, qu’on pousse à bout, qui se transforme, et qui nous échappe. Et puis le riche et passionnant Beauté Fatale de Mona Chollet et le très émouvant La tendresse des pierres de Marion Fayolle, qui parlent aussi, chacun à leur manière, du corps qui nous enferme et de celui qui meurt.

Et puis Richard Brautigan (enfin lu, avec une certaine évidence), Thomas Vinau, toujours si délicat, et Joan Didion, consœur migraineuse dont je découvre les livres !

2 réflexions sur “Des filles, surtout”

  1. Je vais reprendre le Brautigan :-), et le terminer enfin. Mais j’ai tellement aimé que j’ai eu peur de continuer 🙂

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